La Réunion : un atout géopolitique et économique stratégique pour la France

17 décembre 2025

: 12 minutes

Un positionnement géostratégique au cœur de l’Indo-Pacifique

La Réunion, département français de l’océan Indien, offre à la France une présence permanente dans cette région stratégique. Ce territoire confère à la France une profondeur stratégique maritime exceptionnelle : la Zone Économique Exclusive (ZEE) française atteint près de 11 millions de km² (2^e^ rang mondial), dont 97 % grâce aux outre-mer[1]. À elle seule, La Réunion – avec Mayotte et les îles voisines – permet de contrôler environ 2,8 millions de km² dans le sud-ouest de l’océan Indien[2]. Cette situation fait de la France l’unique pays présent sur quatre océans (Atlantique, Indien, Austral et Pacifique) grâce à ses territoires ultramarins[3]. En conséquence, la France est bordée par 30 États côtiers via ses frontières maritimes (plus de 22 800 km de frontières maritimes au total, un record mondial)[4]. Ce déploiement géographique, parfois qualifié de « France-monde », assure à la République des droits souverains d’exploitation et de protection sur de vastes espaces maritimes globaux[3][4].

Sur le plan militaire, La Réunion accueille le commandement des Forces armées de la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI). Avec plus de 1 900 personnels déployés (dont 1 600 militaires) répartis entre La Réunion et Mayotte, les FAZSOI constituent le plus important contingent ultramarin des forces françaises[5]. Cette présence permet d’assurer des missions de souveraineté (protection des îles Éparses, surveillance des pêches, contrôle de la ZEE, sûreté des voies maritimes) et des opérations régionales de coopération ou d’intervention[6][7]. Historiquement, les FAZSOI ont participé à des opérations de maintien de la stabilité dans la zone (interventions aux Comores en 1989 et 1995, contribution à l’opération Turquoise au Rwanda en 1994, lutte contre la piraterie depuis 2009, aide humanitaire post-cyclones)[8][9]. Dans le contexte actuel de rivalités accrues entre grandes puissances, ce dispositif donne à la France un point d’ancrage essentiel pour projeter sa puissance dans l’océan Indien. En 2025, face à l’intensification des rivalités sino-américaines dans la région, La Réunion est ainsi devenue un point clé pour la France (et même pour l’Europe) afin de maintenir une présence stratégique en Indo-Pacifique[10]. La France a d’ailleurs renforcé ses moyens dans la zone (patrouilleurs océaniques, surveillance aérienne) pour protéger ses intérêts et contribuer à la sécurité des voies maritimes internationales qui transitent non loin de La Réunion[11].

Cette position géographique privilégiée apporte enfin des opportunités en matière d’exploration des ressources. En 2020, la France a étendu son plateau continental d’environ 150 000 km² au large de La Réunion et des îles Saint-Paul et Amsterdam[12]. Cette extension, obtenue dans le cadre du programme Extraplac, représente un enjeu économique futur : elle ouvre des droits exclusifs sur les ressources naturelles du sol et sous-sol marin (hydrocarbures, nodules polymétalliques, minerais, ressources biologiques) dans ces zones profondes[13]. Bien que ces richesses potentielles restent à explorer, elles constituent des réserves stratégiques pour les décennies à venir[13]. En somme, La Réunion garantit à la France une souveraineté élargie sur un espace maritime immense et riche, tout en servant de base avancée pour ses forces armées dans une région cruciale du globe.

Un levier de rayonnement diplomatique et d’influence régionale

Au-delà de l’aspect militaire, La Réunion joue un rôle central dans l’influence diplomatique française dans l’océan Indien. Grâce à ce territoire, la France est pleinement membre des organisations régionales de la zone. Depuis 1984, elle siège à la Commission de l’océan Indien (COI) aux côtés des États insulaires voisins (Madagascar, Maurice, Comores, Seychelles) – une participation rendue possible « en raison de La Réunion » qui représente la France au sein de cette instance[14]. Surtout, la France a rejoint en décembre 2020 l’Indian Ocean Rim Association (IORA) en tant qu’État membre à part entière, fait notable pour une nation non exclusivement riveraine. Cette adhésion formelle – fondée explicitement sur la présence de La Réunion[15] – permet désormais à la France de participer directement au dialogue permanent avec 22 pays riverains de l’océan Indien, de l’Afrique du Sud à l’Australie[16][15]. Aux côtés de la COI, l’IORA est ainsi le second forum régional où la France est membre de plein droit, ce qui ancre La Réunion dans son environnement régional et ouvre de nouvelles perspectives de coopération[17][18].

Concrètement, cette intégration régionale renforcée offre à la France un cadre d’échanges privilégié avec les nations de l’océan Indien. Elle facilite les partenariats bilatéraux et multilatéraux dans des domaines d’intérêt commun tels que la sécurité maritime, la lutte contre la pêche illégale, la gestion des catastrophes naturelles, la préservation de la biodiversité marine ou encore le développement de l’économie bleue[19][18]. Par exemple, La Réunion a accueilli en 2021 un atelier régional de l’IORA consacré à la lutte contre la pêche illégale[20]. De même, la France utilise son réseau diplomatique et ses financements (via l’Agence française de développement) pour soutenir des projets de coopération régionale impliquant La Réunion, que ce soit en matière de connectivité numérique (câbles sous-marins régionaux), d’échanges universitaires ou de programmes climatiques[21][22]. Ces actions renforcent la visibilité de La Réunion comme plateforme de compétences et d’expertise au service de ses voisins.

La dimension européenne amplifie encore ce rayonnement. La Réunion est reconnue comme Région ultrapériphérique (RUP) de l’Union européenne, ce qui lui vaut des fonds structurels importants et l’inscription de son développement dans les priorités de Bruxelles. Par ce statut, elle représente une partie de l’Europe dans l’océan Indien – un levier diplomatique notable. Les instances européennes encouragent d’ailleurs l’intégration régionale des RUP : la Commission a intégré des instruments de coopération (comme le programme INTERREG Océan Indien) afin d’associer La Réunion aux pays voisins pour des projets transfrontaliers de développement. Ainsi, l’influence française et européenne dans cette partie du monde s’exerce en synergie, faisant de La Réunion un relais de l’UE dans une zone d’importance géopolitique croissante.

En définitive, la présence de La Réunion confère à la France une position d’« État de l’océan Indien » à part entière, avec plus d’un million de citoyens français vivant dans la région (en incluant Mayotte et les Terres australes)[23]. Cette réalité humaine et territoriale sous-tend des liens historiques et culturels forts avec les pays voisins (partage de la langue française, coopération éducative, francophonie régionale). Elle permet à Paris de se poser en partenaire légitime des États de l’océan Indien, en défendant une vision inclusive et ouverte de l’Indo-Pacifique. Le rayonnement de la France y est assuré non seulement par la puissance diplomatique de l’État, mais aussi par l’action locale de La Réunion elle-même, qui développe des coopérations décentralisées, accueille des événements régionaux et projette l’image d’un territoire européen dynamique au tropisme indianocéanique.

Des enjeux socio-économiques majeurs et un potentiel à valoriser

Sur le plan économique et social, La Réunion représente un défi structurel pour l’État français tout autant qu’une réserve de croissance pour l’avenir. Ce territoire de près de 870 000 habitants (estimation 2025) affiche un niveau de développement supérieur à celui de ses voisins immédiats, grâce à l’important effort de solidarité nationale consenti depuis des décennies. Les transferts publics massifs en provenance de la métropole ont permis d’atteindre un PIB par habitant de 26 300 € en 2023 (environ 65 % de la moyenne nationale) et d’offrir des infrastructures et services de qualité[24][25]. Cependant, l’écart socio-économique avec la France hexagonale reste significatif. Le marché du travail réunionnais demeure marqué par un chômage structurellement élevé – autour de 18 à 21 % ces dernières années, soit presque trois fois le taux métropolitain[26][27] – malgré une amélioration récente. La jeunesse est nombreuse et la création d’emplois, bien qu’en progrès, ne suffit pas encore à absorber la croissance de la population active. Par ailleurs, l’économie locale souffre d’une dépendance aux importations et d’un relatif enclavement régional : traditionnellement, les entreprises réunionnaises ont privilégié les échanges avec la métropole, au détriment des flux avec les pays de la zone[28]. Cette orientation « domestique » limite pour l’instant l’intégration économique régionale de l’île.

Face à ces constats, les pouvoirs publics ont identifié La Réunion comme un territoire nécessitant un investissement massif et soutenu pour surmonter ses fragilités et valoriser ses atouts. L’État consacre déjà chaque année plus de 860 millions d’euros au financement de projets d’investissement des collectivités ultramarines (montant 2023)[29], dont une part significative revient à La Réunion. En outre, la redistribution nationale opère fortement en faveur des ménages réunionnais : on estime à plus de 8 000 € par habitant et par an le solde net moyen des transferts publics reçus (prestations sociales et services publics contre impôts directs), soit près du double de la moyenne française[30]. Ces chiffres traduisent une solidarité nationale très prononcée, justifiée par le retard de développement relatif de l’île et le coût plus élevé de la vie insulaire. À moyen terme, l’objectif affiché est que cet effort financier produise des résultats tangibles en termes de rattrapage économique et de réduction des écarts sociaux. Un investissement judicieux aujourd’hui peut diminuer la dépendance financière demain, en dotant La Réunion d’une économie plus autonome et créatrice d’emplois locaux.

Le territoire dispose en effet de ressources et de potentialités importantes encore sous-exploitées. Le secteur du tourisme, par exemple, bénéficie d’un patrimoine naturel unique (cirques et pitons classés à l’UNESCO, volcan actif du Piton de la Fournaise, biodiversité exceptionnelle) qui peut attirer davantage de visiteurs internationaux à condition d’investir dans les infrastructures d’accueil et la promotion. L’économie bleue représente un autre gisement de croissance : pêche durable, aquaculture, biotechnologies marines, sans oublier les perspectives d’exploitation à long terme des richesses sous-marines évoquées plus haut. De même, La Réunion affiche des ambitions fortes en matière de transition énergétique. Grâce à ses atouts (ensoleillement, géothermie potentielle, énergie marine, hydraulique), l’île s’est fixé l’objectif d’atteindre 100 % d’énergies renouvelables dans son mix électrique d’ici 2030[31]. Si cet objectif ambitieux devait être reporté à 2040 ou 2050 pour des raisons techniques[32], la trajectoire est tracée : devenir un territoire ultra-marin exemplaire en matière d’autonomie énergétique et de développement durable. Les progrès déjà réalisés (plus de 36 % d’électricité d’origine renouvelable en 2022, hausse continue des capacités photovoltaïques et éoliennes) font de La Réunion un laboratoire de la transition écologique reconnu[33][34]. Cette exemplarité verte renforce son image internationale et peut susciter des financements additionnels (européens notamment) pour consolider les filières d’avenir.

Enfin, la croissance démographique de La Réunion, bien qu’en ralentissement, devrait conduire la population aux alentours d’un million d’habitants d’ici 2040-2050[35]. Ce cap symbolique, synonyme de nouveaux besoins en logements, transports, écoles et hôpitaux, constitue en lui-même un défi et une opportunité. D’un côté, il faudra mobiliser des investissements conséquents pour accompagner l’urbanisation et éviter l’aggravation des déséquilibres territoriaux (par exemple entre le Nord et l’Ouest plus dynamiques, et l’Est plus rural). De l’autre, cette population plus nombreuse et formée localement représentera un marché intérieur élargi et un vivier de talents pouvant attirer des entreprises et diversifier l’économie insulaire (nouvelles technologies, services numériques, recherche océanographique, etc.). La jeunesse réunionnaise, si elle est convenablement formée et insérée professionnellement, sera l’actrice principale de ce sursaut économique attendu.

Perspectives : un « joyau » à consolider pour le rayonnement mondial de la France

La Réunion s’affirme comme un joyau géopolitique de la France, dont la valeur dépasse de loin son poids économique actuel. Sur le plan de la souveraineté et de l’influence mondiale, sa contribution est déterminante : sans ses territoires ultramarins, la France perdrait la quasi-totalité de son domaine maritime – et avec lui l’accès privilégié aux ressources et aux routes stratégiques des océans[1][4]. La Réunion, en particulier, garantit à la France d’être présente au cœur de l’océan Indien, région névralgique du 21^e siècle où transite une large part du commerce international. À l’heure où l’Indo-Pacifique devient le nouvel épicentre des relations internationales, la possession de La Réunion offre à la France un avantage unique parmi les puissances européennes : celui de participer directement aux affaires de cette zone, d’y nouer des alliances (notamment avec l’Inde, l’Afrique du Sud, l’Australie) et d’y défendre la vision d’un espace libre et ouvert[11][36]. Il est difficile de chiffrer précisément en euros ou en « points d’influence » ce que rapporte un tel atout, mais certains indicateurs parlent d’eux-mêmes. Par exemple, la présidence française de la COI en 2021-2022 – rendue possible par La Réunion – a permis de consolider la coopération régionale face aux défis communs (sécurité sanitaire, changement climatique)[14]. De même, l’adhésion à l’IORA confère à la France un siège à la table où se discutent les grands projets économiques et environnementaux de l’océan Indien, renforçant son statut de puissance d’envergure mondiale dans les instances internationales[37][22].

Du point de vue stratégique et militaire, l’importance de La Réunion pour la France de demain est tout aussi cruciale. Les tensions géopolitiques globales laissent prévoir que l’océan Indien sera un théâtre d’enjeux croissants (surveillance des routes pétrolières, lutte contre les trafics illicites, rivalités navales sino-américaines, etc.[38][39]). Dans ce contexte, disposer sur place d’une base opérationnelle robuste et d’accords de défense locaux est un impératif pour la France, alliée de ses partenaires européens et engagée pour la stabilité de la zone. La Réunion et Mayotte, via les FAZSOI, jouent d’ores et déjà ce rôle de pivot sécuritaire : on l’a vu lors des opérations d’aide post-cycloniques à Madagascar ou au Mozambique, ou encore dans la formation de forces locales (comme le soutien apporté en 2022 à la mission européenne de stabilisation au Mozambique)[9][40]. Demain, ces missions pourraient s’étendre à la sécurisation des nouvelles ressources offshore (mines sous-marines, fermes énergétiques océaniques) ou à la protection des câbles sous-marins qui connectent l’Europe et l’Asie en passant par La Réunion. Autant de domaines où un investissement anticipé (en moyens navals, en capacités de surveillance satellitaire, en renforcement des effectifs) permettra à la France de préserver sa suprématie locale et de protéger ses intérêts vitaux.

Sur le volet économique et social, investir massivement à La Réunion est un pari sur l’avenir qui peut s’avérer payant pour la Nation tout entière. Réussir le décollage économique de ce territoire, c’est non seulement améliorer la qualité de vie de 870 000 Français ultramarins, mais aussi créer un modèle de développement exportable dans d’autres régions du monde. Par exemple, si La Réunion atteint ses cibles d’autonomie énergétique et de neutralité carbone dans les prochaines décennies, elle deviendra une vitrine technologique pour les énergies renouvelables en milieu insulaire tropical – un savoir-faire que la France pourra valoriser sur la scène internationale (via des entreprises, des coopérations bilatérales, etc.). De même, la réduction du chômage et la montée en compétence de la main-d’œuvre locale ouvriraient la voie à l’émergence de nouvelles filières industrielles ou numériques à La Réunion, susceptibles de conquérir des marchés régionaux (Afrique australe, océan Indien) et de générer des retombées économiques pour l’ensemble du pays. À plus long terme, une Réunion prospère et stable, pleinement intégrée dans son bassin géographique, contribuerait à stabiliser toute la zone. Elle agirait comme un pôle de croissance régional et un rempart contre les crises migratoires ou les influences extérieures indésirables, allégeant d’autant la pression sur la métropole.

En conclusion, les données convergent pour affirmer que La Réunion est un “joyau” stratégique de la République, dont la protection et le développement requièrent une attention prioritaire. La France aurait tout à gagner à investir massivement dans ce territoire : chaque euro engagé renforce à la fois la cohésion nationale, la souveraineté sur des espaces immenses et le rayonnement international du pays. Il convient toutefois de noter que certaines incertitudes demeurent quant à l’ampleur des bénéfices à long terme : par exemple, l’exploitation des ressources sous-marines dépendra des avancées technologiques et des régulations internationales futures, et la capacité de La Réunion à devenir un hub économique régional dépendra aussi de la stabilité de ses voisins. Faute d’informations définitives sur ces points, il importe de faire preuve de volontarisme tout en évaluant régulièrement les politiques menées. Néanmoins, les tendances actuelles indiquent clairement que sans La Réunion, la France verrait son influence mondiale amoindrie, alors qu’en misant résolument sur ce territoire, elle se dote des moyens de ses ambitions planétaires. C’est pourquoi le maintien de la présence française de premier plan dans l’océan Indien, via une Réunion dynamique et stratégiquement outillée, apparaît comme une nécessité impérieuse pour conserver le rang et le rôle international de la France au XXI^e siècle[41][42].

Sources : Rapport du Sénat n°546 (2022) « Les outre-mer au cœur de la stratégie maritime nationale »[4][13]; Ministère des Armées – FRS « Présence militaire et diplomatie de défense en Indo-Pacifique » (2023)[5]; Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères – dossier « France dans le sud-ouest de l’océan Indien » (2024)[17][9]; Insee Réunion – Comptes rapides 2022[27][25]; Fipeco (François Ecalle) – Redistribution entre ménages par région (2025)[30]; Diploweb/Institut FMES – Carte de l’océan Indien (2024)[41], etc.


[1] [3] [4] [12] [13] [26] [28] Les outre-mer au coeur de la stratégie maritime nationale – Sénat https://www.senat.fr/rap/r21-546/r21-5461.html

[2] [24] 1-1-La Reunion.vp

https://www.insee.fr/fr/statistiques/fichier/1289477/ter-1-1-1_contexte_regional.pdf [5] PRÉSENCE MILITAIRE ET DIPLOMATIE DE DÉFENSE – Défendre la souveraineté et promouvoir la stabilité en Indo-Pacifique :: Fondation pour la Recherche Stratégique :: FRS

https://www.frstrategie.org/node/8525

[6] [7] [8] Forces armées de la zone sud de l’océan Indien — Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Forces_arm%C3%A9es_de_la_zone_sud_de_l%27oc%C3%A9an_Indien

[9] [14] [17] [18] [19] [23] [40] France in the south-west Indian Ocean – Ministry for Europe and Foreign Affairs https://www.diplomatie.gouv.fr/en/country-files/regional-strategies/indo-pacific/the-indo-pacific-a-priority-for-france/france-in-the-south-west-indian-ocean

[10] [33] 2025 : géopolitique et avenir de La Réunion – Archipel Stratégies

[11] [36] [38] [39] [41] [42] Carte. Océan Indien. La France en première ligne des rivalités de puissances https://www.diploweb.com/Carte-commentee-La-France-en-premiere-ligne-des-rivalites-de-puissances-dans-l-ocean-Indien.html

[15] [16] [20] [21] [22] [37] France and the Indian Ocean Rim Association (IORA) – Ministry for Europe and Foreign Affairs https://www.diplomatie.gouv.fr/en/country-files/regional-strategies/indo-pacific/regional-based-organisations-of-the-indo-pacific/article/france-and-the-indian-ocean-rim-association-iora

[25] [27] cerom-outremer.fr https://www.cerom-outremer.fr/IMG/pdf/note_cerom_2022_vdef.pdf

[29] Investissements en Outre-mer : le Sénat appelle à impliquer davantage les collectivités https://www.lagazettedescommunes.com/1004045/investissements-en-outre-mer-le-senat-appelle-a-impliquer-davantage-les-collectivites

[30] La redistribution entre les ménages selon leur lieu de résidence https://fipeco.fr/commentaire/La%20redistribution%20entre%20les%20m%C3%A9nages%20selon%20leur%20lieu%20de%20r%C3%A9sidence

[31] [PDF] Programmation pluriannuelle de l’Energie pour la Réunion https://www.ecologie.gouv.fr/sites/default/files/documents/PPE_Reunion_ensemble-etude.pdf

[32] Autonomie énergétique : 2050 plutôt que 2030 – Eco Austral https://ecoaustral.com/autonomie-energetique-2050-plutot-que-2030

[34] Émissions de GES – Observatoire Énergie Réunion https://oer.energies-reunion.com/emissions-gaz-a-effet-de-serre-la-reunion

[35] La population réunionnaise à l’horizon 2050 – Autant de seniors que de jeunes – Insee Analyses Réunion – 29 https://www.insee.fr/fr/statistiques/3254355